Comme tout le monde, j’ai testé les démos, entre autres, de Bayonetta et de Dante’s Inferno. N’ayant jamais joué à God Of War (oui je sais, c’est passible d’une lourde amende :D), je ne peut pas comparer ces deux titres à ce dernier. Cependant j’ai mon opinion sur ces deux versions de démonstrations, avec tout l’engouement qu’elles suscitent vis à vis des fans.
Bayonetta
La première chose qui m’a surpris dans cette démo, c’est la musique ; très « pop » elle corresponds bien avec un certain visage du Japon, et surtout du jeu vidéo. Totalement décalée par rapport à l’action, la musique contraste parfaitement avec le dynamisme du jeu, pour mettre encore plus en valeur l’aspect à la fois technique et de gameplay du jeu.
Niveau gameplay justement, on a affaire à un système de combo classique avec des finish très spéctaculaires (Ahhh lala! Les souvenirs de Mortal Kombat remontent à la surface !). Ceci dit, la panoplie de mouvement de notre belle héroïne (et c’est un euphémisme, sacrés PLATINUM GAMES/SEGA !) est très vaste ; Les enchainements sont divers et variés, tous très bien animés (je rêve de tirer au pistolet avec mes pieds !), avec de multiples effets spéciaux très bien dosés pour ne pas alourdir l’écran déjà bien chargé pendant les combats.
Pour l’histoire, je ne peux absolument pas juger sur une Démo, je passerai donc mon tour !
Pour conclure cette preview, je dirait que SEGA (et PLATINUM GAMES, les développeurs) nous propose ici un jeu très prometteur, autant sur le plan de la qualité de réalisation du titre que de l’originalité de son héroïne et de la musique.
Dante’s Inferno
Dans le style gros bourrin qui défonce tout à coup de hache/hache/hache ou encore à coup de hache, je voudrais M. Dante ! Je l’ai testé avant Bayonetta et j’ai été très agréablement surpris par la qualité graphique et d’animation du décor (Bayonetta aussi est très doué pour cela). La prise en main est très facile : jamais je n’avais touché à un GOW like et pourtant je n’ai pas eu de mal à me familiariser avec le principe du Beat Them All. Le didacticiel en temps réel y est surement pour quelque chose.
Visceral Games et Electronic Arts nous propose ici finalement un jeu très abordable au niveau de sa jouabilité, avec une tonne de possibilités d’attaques que l’on acquière par apprentissage tout au long du déroulement de l’aventure. Ici aussi on retrouve un certain principe de combo, de finish également mais apparemment que pendant les combats contre des Boss (à vérifier, ce n’est qu’un démo après tout). Si l’on aime se battre contre des monstres grands comme la Tour Eiffel ou contre la Mort en personne pour lui piquer son cure-dents, ce jeu est alors idéal !
Le scénario lui semble assez basique : M. Dante perd sa belle dulcinée Béatrice (qui, avouons-le, risque d’attraper un rhume au vu de sa tenue), et part chercher le pourquoi du comment.
Finalement, bien qu’associé à une histoire qui semble bateau, la réalisation technique ne semble pas faillir ; la possibilité énorme d’attaques soit obscures,soit saintes, et le dynamisme des combats pourraient proposer en définitive un jeu de qualité, agréable à jouer et doté d’un gameplay riche.
Je pense m’offrir ces deux petits bijoux maintenant que j’ai testé ces démos.
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