Toute une panoplie d’accessoire à l’image du hit de Bioware (que j’ai terminé d’ailleurs ! Test à venir !) est sortie chez Razer. Le constructeur propose un simple habillage esthétique à ses produits déjà existants comme ici pour la Razer Onza. Ça tombe bien, je n’avais jamais posé mes doigts dessus et j’ai eu hâte de voir ce que ça donnait au final.
Présentation générale
La Onza reprend le form-factor général de la manette Xbox 360 filaire classique. Du coup, la prise en main est déjà plus facile pour les habitué(e)s de la marque. Quelques petites variante d’ergonomies existent néanmoins. D’abord, à l’arrière de la manette, dans l’enfoncement où l’on met généralement son majeur (ou son annulaire selon comment l’on joue), une petite butée de la poignée permet de caler facilement ce doigt. Seconde variante : les gachette LT et RT sont plus courbées afin de se stopper plus « haut » dans leur course. Une petite différence qui peut faire de grandes choses pour certains jeux.
Les boutons ABXY sont illuminés, tout comme le bouton central « Xbox » lorsque vous branchez la manette. Un bel effet, purement esthétique mais qui ajoute une certaine classe. Le revêtement de la Onza Mass Effect 3 semble être en carbone (ou imitation à la rigueur) mais en réalité il n’en est rien. En effet, il s’agit d’une « simple » sérigraphie, du plus bel effet, certes, mais qui n’a pas réelle influence sur la prise en main de la manette, mise à part le fait qu’elle soit un peu plus lisse que l’officielle.
Les « + » de la Onza
Parmi les points intéressant de la Onza, sachez qu’il est possible de régler la dureté des joystick analogique grâce à une roue crantée (un peu dure de prime abord) à visser ou dévisser. On sent la différence et c’est plutôt intéressant selon les jeux et selon les personnes. La croix directionnelle quant à elle n’est pas des plus évidente puisque la fluidité du mouvement puisque ce n’est pas un pavé mais quatre directions séparément implantées.
Autre chose importante, les boutons ABXY ont une course très courte. De fait, la dextérité d’utilisation est grandement améliorée et un doux bruit de clic s’entends, comme si l’on cliquait sur une souris 🙂 Il en va de même d’ailleurs pour les boutons latéraux LB et RB. Il est cependant dommage de constater sur les clics des joystick sont un peu trop durs et donc, difficile à utiliser.
Enfin, au dessus les boutons latéraux LB et RB existent des boutons LMFB et RMFB qui sont programmable. Vous pourrez y assigner à la volée des boutons (mais pas de combinaison ! ). Je n’ai vraiment eu l’utilité d’une telle fonction mais cela permettra sûrement à certains joueurs de « tricher » : j’assigne « X » à chacun des deux boutons latéraux et je peux plus facilement mitrailler « X » en utilisant du coup 3 boutons pour une seule fonction ! Bon à part pour Track and Fields, je ne sais pas trop à quel jeu une telle technique pourrait se destiner ^^ Mais pour être plus précis :
- Le bouton multi-fonction gauche permet de configurer les touches A, B, X, Y, la pression sur le stick gauche, les touches LB, LT, Back et Start.
- Le bouton multi-fonction droit permet de configurer les touches A, B, X, Y, la pression sur le stick droit, les touches RB, RT, Back et Start.
Au final, cette petite Onza de Razer est une réussite. Elle allie confort d’utilisation et technologie agréable. Certes, tout n’est pas parfait mais les détails de finitions sont garants d’une qualité de fabrication plutôt reconnue chez le constructeur. Au quotidien, cette manette Xbox 360 remplace rempli plus que parfaitement son rôle et peut même se substituer entièrement à celle-ci.
Vous pouvez acheter la Razer Onza Tournament Edition (Mass Effect ou non) à partir de 59,99 € ici.
Trop belle, limite envie de l’acheter sans avoir la Xbox. HAHAHA.
Moi j’ai un PC et c’est compatible ! :p (e toi aussi tu as un PC !)